Salut à tous, et comme on dit ici : « Olá ! »
Après une petite semaine de vacances bien méritées avec nos proches, on vous retrouve à Lisbonne, la capitale du Portugal. Ceux d’entre vous qui nous suivent de très près se demandent sans doute pourquoi pas l’Algérie comme prévu initialement ?
Malheureusement, on n’a pas réussi à obtenir nos visas sans repasser par la France (alors qu’on vient d’apprendre que l’Algérie prévoit le lancement d’un e-visa, tellement dommage). On est vraiment déçus de ne pas pouvoir étudier l’Algérie, seule étape de notre tour au Maghreb, mais on n’essaye de rebondir avec positivité ! Après tout, le Portugal n’a jamais été étudié par les saisons IFT précédentes malgré sa proximité avec la France. C’est donc une belle occasion d’étudier pourquoi (ou comment) est gérée la diversité dans un pays si proche de notre histoire et au contexte pourtant si différent (environ 80 % de la population se dit catholique).
Pour bien commencer cette journée lisboète, on s’est attablés à un petit café très sympa. C’est super marrant, Adèle y est venu plusieurs fois pendant ses vacances sans savoir que c’est un des endroits que je préfère à Lisbonne (merci Joris et Héloïse) depuis que je l’ai découvert lors d’un précédent voyage. Pourquoi ? Parce que la bouffe est bonne, assez végé et pas chère, qu’il y a des prises, et un bon wifi ! La recette parfaite pour une belle journée de travail.
D’ailleurs, on s’y met ! Faut pas oublier qu’on se sait pas encore où dormir à partir de demain. Du coup, Abderrahim passe pas mal de temps sur la recherche d’hébergement. Le travail est d’autant plus dur que le changement de pays de dernière minute l’oblige à reprendre des recherches de zéro. Et ça ne concerne pas que les hébergements, mais aussi les organisations à rencontrer.
Pendant ce temps, Adèle et Floraine finissent un dossier important pour une piste de financements, et moi je termine le montage de la vidéo Nouvelle-Zélande. Youpiii. Préparez-vous elle sort bientôt et elle est vraiment, vraiment, bourrée de pépites !
Finalement on est restés là jusqu’à la fermeture du café, puis on est passé faire deux-trois courses au supermarché en rentrant. Et une pizza industrielle plus tard… Dodo !
Vincent