JournalSaison 4

Petit-déjeuner à la Maison Blanche

Cette journée a commencé par un copieux petit-déjeuner à la Maison Blanche. Oui oui, vous avez bien lu. Le restaurant White House situé à 3 min de notre auberge est devenu notre nouveau QG depuis que le propriétaire et la serveuse nous ont aidés à négocier un logement dans Katmandou. Cerise sur le gâteau, les portions sont génereuses et les prix un peu en dessous de la moyenne.

Ensuite, le temps a été partagé entre travail et découverte de la ville (et achats de souvenirs). Abderrahim est resté à White House pour une session de travail et j’ai suivi les filles dans Thamel.

Après avoir trouvé un couturier qui brode des t-shirts à la minute, on a décidé d’y retourner tous les quatre pour un moment team-building. Chacun de nous a choisi une couleur et une taille de t-shirt qui lui convenait, puis on a tous fait broder “la famille tortue” dessus, en référence à notre surnom d’équipe depuis quelques mois.

Petite photo de famille avec Archad, notre talentueux couturier

Le temps de se mettre d’accord sur les couleurs, de préparer le motif et de le broder, il était largement l’heure du déjeuner ! Comme ça fait plusieurs jours qu’Abderrahim ne peut pas manger ce qu’il veut dans les restaurants, on a essayé d’en trouver un qui serve de la viande halal. Heureusement, la communauté musulmane de Katmandou est assez regroupé autour de Thamel donc ça n’a pas été très compliqué. Par contre, dans ce restaurant sans touriste, les plats étaient beaucoup plus épicés qu’ailleurs. On a eu un peu de mal à assumer…

L’après-midi était déjà bien entamée quand on est sorti du restaurant, et chacun est retourné à ses occupations, avant qu’on sorte dîner ensemble au club d’escalade de Katmandou. Une fois la nuit tombée, plus grand monde n’y traîne, mais le restaurant du club, qui fait face aux murs d’entraînement, reste ouvert.

On a terminé le repas sur une partie de “devinez à qui je pense ?” (à laquelle Adèle a triché). Puis les serveurs nous ont gentiment proposé de partir du restaurant parce qu’il était trop tard.

Vincent

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